Test : JJRC 1000, un drone lumineux

Un drone lumineux pour piloter dans le noir

Le JJRC 1000 concurrence des modèles tel que le X-Dart. Il ne dispose pas de caméra embarquée, mais la vidéo n’est pas sa vocation première. Il fait parti des drones amusant que l’on à simplement envie de piloter, et encore plus de nuit pour profiter de ce fantastique balai de couleurs.

Déballage :
Dés l’ouverture de la boite, on retrouve le pack classique : quadricoptère , radiocommande, Lipo, chargeur USB , 4 hélices de remplacement et une notice en Français.

Ce qui surprend au premier abord, c’est que pour un drone lumineux, on ne voit aucune Led sortir de la coque, et aucune zone transparente. Elle en plastique blanc moulée du plus belle effet tout en restant assez neutre. Son profil aérodynamique et son faible poids (25 grammes sans Li-Po) devrait en faire un engin très amusant. Des ouvertures ont été réalisées pour laissez respirer les moteurs ainsi que la batterie.

A l’arrière de l’appareil, se situe l’accès à la Lipo. Une languette crantée à été ajoutée, elle est sensée retenir la batterie. Son utilité est somme toute relative : la batterie rentrant au chausse pied (prendre son temps et ne surtout pas forcer), elle ne risque pas de partir en cas de collision avec un obstacle.

Côté dimension, je le pensais plus petit qu’un Hubsan X4 107C, mais en les mettant côte à côte, il n’en est rien. Ils font exactement la même envergure (entraxe moteur).

Les codes couleurs des Led :
Les couleurs sont presque un accord tacite de tout les constructeurs et issu d’une certaine logique : rouge pour l’arrière et bleu pour l’avant. Le constructeur s’est surement dit qu’il fallait bouger tout cela, et il à tout inversé … surprenant lors des premiers vols, on s’y fait rapidement.

Radiocommande :

Au premier regard, on croit se trouver en présence d’un modèle de chez Wltoys, les boutons autour de l’écran LCD en moins. La prise en main est identique.
L’écran LCD s’éclaire en bleu, et change pour une jolie couleur orange quand la vitesse de vol sélectionnée est à 100%.

Les rotations des hélices sont simulées directement sur l’écran. Le réglage du stationnaire se fera traditionnellement par les réglages disposés autour des commandes.

L’essai :
Il se fera à l’extérieur. Allumage de la radio, puis du drone, et c’est la que j’aperçois (enfin) l’éclairage : le dessous de la coque s’illumine presque intégralement.

Comme la plupart des quadricoptères de loisirs de dernière générations, le contrôleur de vol s’occupe de tout ou presque. Mon premier essai c’est fait avec pas mal de vent pour un quad dont l’envergure est en dessous des 15cm, il à tenu bon à 80% de puissance sans avoir besoin de lutter.
De 20% à 60%, les rotations sont trop lente pour un vol soutenu dans un espace confiné, préférez 80 voir 100%. Son environnement de prédilection sera plutôt l’extérieur, vous vous sentirez vite à l’étroit dans une pièce de la maison pour effectuer de jolie manœuvre.

Deuxième essai sans vent, le stationnaire n’est pas évident à tenir. Il à toujours envie de partir (peut être les légères brises), donc on lui fait plaisir, on passe à 100% et on adopte un pilotage plus sportif. Et c’est à ce moment que le JJRC se révèle: il est fait pour être malmené . On prend vraiment plaisir à piloter cette boule lumineuse à toute allure. Au bout de 6mn, les Leds clignotent, signe qu’il est temps d’atterrir. Sans les Led allumées, j’ai mesuré un temps de vol de 8mn, ce qui commence à être intéressant. Pour profiter pleinement se son drone et progresser plus rapidement, quelques batteries supplémentaires seront un plus.

A noter : si vous possédez déjà une radiocommande des modèles WlToys V2x2, laissez la nouvelle dans la boite. Elles sont à 100% compatible, vous économiserez des piles et cerises sur le gâteau, vous bénéficierez en plus des fonctions 3D : flips, etc.